Être thérapeute, c’est être capable de faire l’expérience du contact d’humain à humain, de vivant à vivant, dans tout ce qu’il peut y avoir de beau ou de laid, de fort ou de vulnérable, de désirable ou de repoussant chez l’autre comme chez moi.
Dr en psychologie, thérapeute, conférencier, formateur et auteur… Mais ce n’était pas le plan de départ. Je n’ai jamais espéré être thérapeute. Ça n’était pas un de mes objectifs.
Au début, je voulais être entraineur, coach, ou préparateur physique. Ce qui me passionnait, c’était la performance et le potentiel de l’être humain. Comment être « la meilleure version de soi-même » ?
C’est donc naturellement que j’ai entamé une carrière dans l’entrainement du sportif de haut niveau ainsi que dans le monde de l’entreprise…
Mais l’aspect purement physique, matériel, a trouvé rapidement ses limites dans ma quêtes. J’ai donc pris un chemin de traverse pour plonger dans le côté « mental » de la performance. Coaching, PNL, puis Hypnose… Et c’est là que la thérapie m’est « tombée » dessus.
Plus je me formais, plus j’apprenais… moins j’avais la sensation de la comprendre, de la maitriser. Tellement de choses à découvrir sur la relation à l’humain, au monde, et bien entendu à soi. Et surtout, je ne m’attendais pas à revenir à ce que j’avais quitté initialement : le corps ! Corps, qui par le biais de la SENSORIALITÉ, prendra une place centrale dans ma Thérapie Incarnée.